Je n'ai pas de tête. Je suis omnipolaire. Je marche dans les rues en chantant mal et en faisant des punch de drum avec mes mains et en buvant du vin dans un sac en papier brun. Je bois aussi des cafés-filtre au Dégueulton, des fois j'y travaille et tout le temps j'y écoute aux tables. Je sors danser dans les bars country. Je suis pas super en Charleston. Je cherche une liberté douce. Je fragmente les histoires des gens que je rencontre au cours de mes soirées qui n'ont ni tête ni rien non plus.

lundi 11 juillet 2011

Les oreillers.

C'est les oreillers qui nous stoolent.
Quand le matin 'sont plus d'un bord ou de l'autre. Souvent 'sont au milieu ça veut dire qu'on s'aime égal. Je rêve-tu ou c'est vrai ça marche.
Ces temps-ci 'sont surtout de ton bord, genre la mienne embarquée par-dessus la tienne en moton.
Au début c'était le contraire mais là ça change souvent dans nos vies.

Je pense que je te cours un peu après ça se peut-tu.

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