Je n'ai pas de tête. Je suis omnipolaire. Je marche dans les rues en chantant mal et en faisant des punch de drum avec mes mains et en buvant du vin dans un sac en papier brun. Je bois aussi des cafés-filtre au Dégueulton, des fois j'y travaille et tout le temps j'y écoute aux tables. Je sors danser dans les bars country. Je suis pas super en Charleston. Je cherche une liberté douce. Je fragmente les histoires des gens que je rencontre au cours de mes soirées qui n'ont ni tête ni rien non plus.

samedi 6 novembre 2010

D'amour mais qui fait pas mal.

I need you when the sun goes down.

Pour me dire que Facebook c’est d’la scrap.

Pour me dire que je suis mieux qu’un inbox avec trois petits points à la fin qui font chier.

I need you pour ma liberté.

Pour les yeux extérieurs qui sont indulgence.

Pour sentir qu’on se connaît par le cœur.

Que ce qu’on dit c’est pas important anyways.

I need you when the sun goes down aux étoiles.

Quelques fois par année.

I need you qui fait pleurer.

D’amour.

mais qui fait pas mal.

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